Infirmerie Protestante

infirmerie protestante Norimagerie

Créée en 1884, l'Infirmerie Protestante est une institution lyonnaise historique, qui a toujours su évoluer avec les avancées technologiques médicales.

Tout dernièrement, l’Infirmerie Protestante a accueilli dans ses locaux la médecine nucléaire avec un TEP scan (GIE public privé Nord) et renouvelle son service ambulatoire et son bloc opératoire avec une salle vasculaire hybride.
Association loi 1901 à but non lucratif, l'Infirmerie Protestante comprend 262 lits et places d’hospitalisation. Elle a déménagé sur le site de Caluire en 2000.
 

 

L'activité de l'Infirmerie Protestante est orientée vers 2 pôles stratégiques incluant des activités médicales, chirurgicales lourdes et de réanimation :
le pôle cardio-vasculaire regroupant la chirurgie cardiaque et vasculaire, la cardiologie médicale interventionnelle et le traitement des troubles du rythme cardiaque (pace maker, défibrillateurs).
le pôle viscéral et cancérologique regroupant chirurgie digestive, thoracique, urologique, gynécologique, la chimiothérapie et les spécialités médicales telles que gastro-entérologie, médecine interne et pneumologie.

Certification : La 3ème visite de certification d’avril 2010 donne à l’établissement un haut niveau de réponses aux exigences demandées

Un bref aperçu historique :

Créée en 1844, l’Infirmerie Protestante démarre dans un modeste appartement de la rue des Fantasques à Lyon pendant 40 ans.
L’Infirmerie Protestante a construit en 1884 un hôpital Cours Général Giraud pour répondre aux besoins de santé grandissants de la population. Lors de la première guerre mondiale, l’Infirmerie a été transformée en clinique à la demande de la Croix Rouge, soignant les blessés du front grâce à des chirurgiens venus de l’Hôtel Dieu et aux Diaconnesses de Berne, religieuses soignantes protestantes.
La Infirmerie Protestante est un établissement pionnier dans le domaine cardio vasculaire : en 1969, a été réalisée sur le site la première greffe des coronaires par les professeurs SISTERON et GUILMET confirmant ainsi qu'un établissement sanitaire, de moyenne importance peut être à même de contribuer au progrès de la chirurgie en France.