Les patients claustrophobes (5 à 10 % des cas) ont tendance à beaucoup appréhender les examens d’IRM, se sentant « enfermés » dans le tunnel de l’appareil d’imagerie.

Ils ressentent de l'angoisse et de l'anxiété avant et pendant l’examen. Pourtant, l’IRM n’est ni dangereuse, ni douloureuse.

Voici quelques conseils et précisions pour mieux appréhender cet examen :

Signaler votre claustrophobie : si vous êtes claustrophobe, il est important de le signaler. Si vous le souhaitez, des mesures d'accompagnement pourront vous être proposées.

L’IRM est un anneau ouvert : l’aspect extérieur de la machine ne diffère que très peu d’un scanner. C’est une machine bruyante, mais qui n’entraîne aucune sensation particulière, elle est totalement indolore. La pièce où se passe l’IRM est éclairée et climatisée.

Les techniciens et le médecin sont très proches de vous : une caméra retransmet tout ce qu’il se passe dans la salle, un autre système permet à l’équipe médicale de vous parler et de vous entendre. Tous les examens ne se font pas dans la même position, très souvent, la tête est en dehors de l’anneau.

En cas de phobie importante : votre médecin traitant peut vous prescrire un traitement relaxant à prendre avant l’examen.

L’examen d’IRM n’est pas dangereux : toutes les précautions sont prises par Norimagerie pour qu’il se déroule le mieux possible. De plus, l’examen n’est pas pratiqué si le patient a des contre-indications. Dans le pire des cas, l’examen sera raté (trop de mouvements, etc).

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